Un nouveau scandale vient de s'ajouter aujourd'hui même à la longue liste qui ne cesse de s'épaissir autour des vedettes du Québec, et si de gros noms sont déjà tombés, certains humoristes ont laissé entendre que d'autres s'en viennent à grands pas. 

Le dernier en date est Michel Venne, qui aurait agressé sexuellement Léa Clermont-Dion alors que l'auteure était encore jeune et travaillait pour l'homme qui était son idole à l'époque. 

Dans le message qu'elle a publié sur Facebook pour dénoncer son agresseur, la jeune femme a d'ailleurs mentionné que Lise Payette, qui est réputée pour être une grande féministe, a tenté de la dissuader de porter plainte. 

Celle-ci a d'ailleurs dit au Journal de Montréal:

''Je lui avais conseillé, mais il faut se reporter à... il y a beaucoup d’années [...] et à cette époque elle était très jeune et mon conseil a été de lui faire réfléchir à ce que ça entraînait. On n’était pas du tout dans le mouvement dans lequel on est maintenant. Et j’avais peur pour elle que ça nuise à ses capacités de développement personnel. Je lui ai dit: “Regarde si tu t’en vas toute seule là-dedans en ce moment, il est possible que tu n’aies plus de travail jamais” et je lui avais fait remarquer ça''

Est-ce possible que ce soit une erreur d'interprétation? La victime explique quant à elle que Payette lui avait suggéré de ne pas porter plainte car cela causerait du tort à la carrière et à la famille de l'homme. D'ailleurs, Payette ne le nie pas non plus:

''J’ai su que M. Venne avait des problèmes de famille, mais ça me regardait très peu, ça ne me regardait pas. Ce n’est pas ça qui m’intéressait. Je n’ai pas cherché à rencontrer personne. Léa est venue me voir pour demander conseil. Mon conseil a été: “Je pense que ce n’est pas le bon moment de faire ce genre de chose, tu vas te retrouver toute seule”. Voilà.''

Et vous, êtes-vous convaincu par ses explications ?